En quelques jours, le système bancaire suisse a connu de nombreux événements capables de faire trembler tout le pays. Mais au niveau de la population, quelles conséquences peuvent être observées ?
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Le sort du Credit Suisse est désormais connu. Le deuxième prêteur suisse en difficulté sera repris par le plus grand UBS SA, a annoncé dimanche le Conseil fédéral. La BNS a soutenu l'opération avec une ligne de crédit de 100 milliards de francs.
UBS échangera une action propre contre 22,48 actions Credit Suisse dans le cadre d'une offre hâtive sur la deuxième banque suisse par son redoutable rival. La transaction vaut donc environ 3 milliards de francs ou 76 cents par action Credit Suisse.
Le rachat du Credit Suisse (CS) par UBS était la meilleure solution pour rétablir la confiance, a déclaré dimanche soir le président de la fédération, Alain Berset, aux médias à Berne. "Tout doit être fait pour éviter une crise financière majeure."
De son côté, la Banque nationale suisse (BNS) a annoncé qu'elle "soutenait le rachat du Credit Suisse par UBS en allouant une aide substantielle sous forme de liquidités".
Les clients ne sont donc pas vraiment en danger, du moins, pour l'instant. Cependant, un mouvement de panique pourrait instaurer une nouvelle chute si la défiance des boursiers augmentait.
Pour éviter une panique générale, le conseil premier serait de ne pas laisser 100% de sa fortune ou investissement chez le même gestionnaire. Il existe de multitudes alternatives pour vous et votre priorité est de se renseigner sur ce qui est possible.
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